[…]
Qui voudrait raconter les
plaisirs
qu’on reçoit
En la
rustique
vie
en quel temps
que ce soit,
On compterait plutôt le
sable
des rivages
Grain à grain, et du
ciel
les
flambantes
images,
Fassent les Dieux
bénins
que je passe toujours
En si
plaisants
ébats
dedans ces champs
mes jours,
Et qu’autre air
à jamais mon
poumon
ne respire :
Voilà tout ce que plus au
monde
je désire.
[…]
Qui voudrait raconter les
plaisirs
qu’on reçoit
En la
rustique
vie
en quel temps
que ce soit,
On compterait plutôt le
sable
des rivages
Grain à grain, et du
ciel
les
flambantes
images,
Fassent les Dieux
bénins
que je passe toujours
En si
plaisants
ébats
dedans ces champs
mes jours,
Et qu’autre air
à jamais mon
poumon
ne respire :
Voilà tout ce que plus au
monde
je désire.
En ligne le
07/02/11.
Dernière révision le 29/06/23.