La
vive
neige,
et les
vermeilles
roses
Que cent hivers
consumer ne pourront,
Et les Soleils
de deux
beaux
yeux,
qui sont
Le siège
seul, Amour,
où tu reposes.
Les
beaux
discours, Pithon,
que tu arroses
Du plus
doux
miel
que les avettes
font,
La façon
douce,
et l’esprit
vif
et
prompt,
Où j’aperçois mille
vertus
encloses.
La
tresse
d’or,
qui me tient arrêté,
Et le
beau
sein
trésorier
de beauté,
Le ris,
le jeu,
la constance
inconstante,
Les
doux
dédains,
la douce
cruauté,
Et les baisers
d’une bouche
odorante
Ont mis au joug
ma chère
liberté.
La
vive
neige,
et les
vermeilles
roses
Que cent hivers
consumer ne pourront,
Et les Soleils
de deux
beaux
yeux,
qui sont
Le siège
seul, Amour,
où tu reposes.
Les
beaux
discours, Pithon,
que tu arroses
Du plus
doux
miel
que les avettes
font,
La façon
douce,
et l’esprit
vif
et
prompt,
Où j’aperçois mille
vertus
encloses.
La
tresse
d’or,
qui me tient arrêté,
Et le
beau
sein
trésorier
de beauté,
Le ris,
le jeu,
la constance
inconstante,
Les
doux
dédains,
la douce
cruauté,
Et les baisers
d’une bouche
odorante
Ont mis au joug
ma chère
liberté.
En ligne le
21/06/21.
Dernière révision le 23/12/23.