De quel
rosier,
et de quelles épines,
Cueillit Amour
les roses
de ton teint ?
De quel
bel
or qui
pur tout autre éteint,
Redora-t-il ces
blondelettes
trines ?
De quels endroits sont ces
mains
ivoirines,
Qui m’ont le cœur
étranglé, et étreint,
Et d’adorer doucement m’ont contraint
Ce vif
corail,
et ces perlettes
fines ?
Las de quel lieu prit-il encor ce reste,
Ce doux
parler,
et ce chanter
céleste,
Par qui son trait
des plus fiers est vainqueur ?
Ces
grands
beautés
ne sont point de la terre,
Ni ces
beaux
yeux
seuls ma paix,
et ma guerre,
Tels biens
du ciel
me sont chus dans le cœur.
De quel
rosier,
et de quelles épines,
Cueillit Amour
les roses
de ton teint ?
De quel
bel
or qui
pur tout autre éteint,
Redora-t-il ces
blondelettes
trines ?
De quels endroits sont ces
mains
ivoirines,
Qui m’ont le
cœur
étranglé,
et étreint,
Et d’adorer
doucement m’ont
contraint
Ce vif
corail,
et ces perlettes
fines ?
Las de quel lieu prit-il encor ce
reste,
Ce doux
parler,
et ce chanter
céleste,
Par qui son trait
des plus fiers est vainqueur ?
Ces
grands
beautés
ne sont point de la terre,
Ni ces
beaux
yeux
seuls ma paix,
et ma guerre,
Tels biens
du ciel
me sont chus dans le cœur.
En ligne le
13/02/13.
Dernière révision le 20/11/24.