««« ro­sier »»»

« rosier » ou « rosiers » dans :
Ron­sard
1555
~ Autant qu’un rivage a…
Grévin
1560
~ [Allons, Belle, sous ce ro­sier…
Buttet
1561
~ De quel ro­sier…
Gou­lart
1574
~ Mon âge, ô Dieu…
Boys­sières
1578
~ L’on peut or’ contem­pler…
La Jessée
1578
~ Grasinde, qui me fais…
1583
~ Au bon arbre, au Ro­sier…
Hes­teau
1578
~ [En un coin de ce val…

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Rosier. Bo­ca­geux, franc, sau­vage, épi­neux, pour­pré, odo­rant ou odo­reux, bou­ton­né, bran­chu, souef­flai­rant, buis­son­neux.

Le Rosier ne s’aime point en lieu gras, argi­leux, ni aqua­tique, mais il aime les lieux secs, et sin­gu­liè­re­ment ceux qui sont pleins de vieilles ordurescurures et plâ­tras des ma­sures et mai­sons déro­chées.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 234r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_474]
(texte modernisé).

[Voir aussi rose.]


 

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Rosier. Bo­ca­geus, franc, sau­uage, espi­neus, pour­pré, odo­rant ou odo­reus, bou­ton­né, bran­chu, souef­flai­rant, buis­son­neus.

Le Rosier ne s’aime point en lieu gras, argil­leus, ni aqua­tique, mais il aime les lieux secs, & sin­gu­lie­re­ment ceux qui sont pleins de vieilles ordurescureures & pla­tras des ma­sures & mai­sons dero­chees.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 234r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_474]
(texte original).

[Voir aussi rose.]