[…]
Vieille
rosse,
Tu oses bien t’enhardir,
De penser qu’à ta
charogne
Je me joigne,
Pour tes
froids
ans
reverdir.
Vagabonde,
Et l’air
de poissons
couvert,
Les loups
et chèvres
ensemble,
Que j’assemble
Mon printemps,
à ton hiver.