POur
chanter votre
Gloire
à nulle autre seconde
Il me faudrait avoir ou du
grand
Amphion
Et la Lyre
et la voix,
ou le Luth
d’Arion,
Dont il charma
l’horreur
et de vents
et de l’onde.
Et pour peindre cet
œil,
dont la clarté
féconde
Illustre l’univers de son
divin
rayon,
Il me faudrait aussi
d’Apelle
le Crayon,
Et de Timanthe
encor l’Excellence
profonde.
Portraire vos
Beautés,
chanter votre
beau
los,
C’est peindre dessus
l’eau,
c’est compter tous les
flots,
C’est nombrer de
Cérès
la Moisson
innombrable.
Bien dirai-je
qu’Amour
vous donna la Beauté,
Le Bien-dire Pallas,
Junon
la Gravité,
Et le Ciel
tout
bénin
votre heur incomparable.
POur
chanter votre
Gloire
à nulle autre seconde
Il me faudrait avoir ou du
grand
Amphion
Et la Lyre
et la voix,
ou le Luth
d’Arion,
Dont il charma
l’horreur
et de vents
et de l’onde.
Et pour peindre cet
œil,
dont la clarté
féconde
Illustre l’univers de son
divin
rayon,
Il me faudrait aussi
d’Apelle
le Crayon,
Et de Timanthe
encor l’Excellence
profonde.
Portraire vos
Beautés,
chanter votre
beau
los,
C’est peindre dessus
l’eau,
c’est compter tous les
flots,
C’est nombrer de
Cérès
la Moisson
innombrable.
Bien dirai-je
qu’Amour
vous donna la Beauté,
Le Bien-dire Pallas,
Junon
la Gravité,
Et le Ciel
tout
bénin
votre heur incomparable.
En ligne le
12/06/21.
Dernière révision le 12/06/23.