Canicule. Ardente, chaude, âpre, enragée, cuisante, estivale, malsaine, fiévreuse, étincelante, icarienne, chien étoilé, bouillante, enflammée, sèche, maladive, brûlante, furieuse, dommageable, rouge, chaleureuse, altérée, pernicieuse, ignée.
La Canicule se lève ès plus grandes chaleurs, le soleil entrant au premier degré de Leo, qui est le dix-septième de Juillet : et les merveilleux effets qu’elle produit sur la terre, nous font assez connaître son arrivée.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 45v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_97]
(texte modernisé).
[Caniculaire. Chaleur.]
[Voir aussi Avant-chien, Chien céleste.]
De la canicule) Il y a deux étoiles, qui s’appellent du nom de chien, l’un grand, l’autre petit. Il [Du Bellay] parle du petit, qui se montre environ le mois d’Août au tropique du cancre, où règnent les plus chauds, et dangereux jours de l’année, qu’on appelle jours caniculaires.
Jean PROUST, in DU
BELLAY, Recueil de Poésie, 1549,
« Brève exposition de quelques
passages poétiques les plus difficiles contenus en
cet œuvre », « De
l’Ode IX », p. 87
[Gallica, NUMM-71119, PDF_88]
(texte modernisé).
Canicule. Ardente, chaude, aspre, enragee, cuisante, estiuale, mal-saine, fieureuse, estincelante, icarienne, chien estoillé, boüillante, enflammee, seiche, maladiue, brulante, furieuse, dommageable, rouge, chaleureuse, alteree, pernitieuse, ignee.
La Canicule se leue és plus grandes chaleurs, le soleil entrant au premier degré de Leo, qui est le dixseptiesme de Iuillet: & les merueilleus effects qu’elle produit sur la terre, nous font assez connoistre son arriuee.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 45v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_97]
(texte original).
[Caniculaire. Chaleur.]
[Voir aussi Auant-chien, Chien cœleste.]
De la canicule) Il y a deux estoiles, qui s’appellent du nom de chien, l’un grand, l’autre petit. Il [Du Bellay] parle du petit, qui se montre enuiron le moys d’Aoust au tropique du cancre, ou regnent les plus chaulx, et dangereux iours de l’année, qu’on appelle iours caniculaires.
Ian PROUST, in DU
BELLAY, Recueil de Poesie, 1549,
« Brieue exposition de quelques
passaiges poëtiques les plus difficiles contenuz en
cet œuure », « De
l’Ode IX », p. 87
[Gallica, NUMM-71119, PDF_88]
(texte original).