[…]
La propreté rend leur
fueille
polie,
La volupté
de leur beauté
rauie,
En les baisant y donne ses
senteurs:
Puis Phœbus
met pour chaque maladie,
A chaque fleur
vn remede
aux douleurs.
Mais quand
l’esté
son chariot
attelle,
Et que d’ardeur
sa perruque
étincelle,
Tout est brûlé, les
prez,
les bois,
les mons
Restent sans fleurs,
sans fueille,
sans ombrage,
Et seulement resiste à ses
rayons
L’vnique
FLEVR
que le temps
n’endommage.
[…]
[…]
La propreté rend leur
fueille
polie,
La volupté
de leur beauté
rauie,
En les baisant y donne ses
senteurs:
Puis Phœbus
met pour chaque maladie,
A chaque fleur
vn remede
aux douleurs.
Mais quand
l’esté
son chariot
attelle,
Et que d’ardeur
sa perruque
étincelle,
Tout est brûlé, les
prez,
les bois,
les mons
Restent sans fleurs,
sans fueille,
sans ombrage,
Et seulement resiste à ses
rayons
L’vnique
FLEVR
que le temps
n’endommage.
[…]
En ligne le
06/08/12.
Dernière révision le 08/02/23.