Quel
heur
Anchise
à toi, quand
Vénus
sur les bords
Du Simoente vint son
cœur
à ton cœur
joindre !
Quel heur à toi
Pâris,
quand Œnone un peu moindre
Que l’autre, en toi
berger
chercha pareils
accords !
Heureux
te fit la
Lune,
Endymion,
alors
Que tant de nuits
sa bouche
à toi se vint rejoindre :
Tu fus, Céphale, heureux
quand
l’amour
vint époindre
L’Aurore
sur ton
veuf,
et pâle,
et
triste
corps.
Ces quatre étant mortels des
Déesses
se virent
Aimés : mais leurs
amours
assez ne se couvrirent.
Au silence
est mon bien :
par lui, Maîtresse,
à toi
Dans mon
cœur
plein,
content
et
couvert
je n’égale
Vénus,
Œnone, Lune, Aurore :
ni à moi
Leur
Anchise, Pâris, Endymion, Céphale.
Quel
heur Anchise
à toi, quand
Vénus
sur les bords
Du Simoente vint son
cœur
à ton cœur
joindre !
Quel heur à toi
Pâris,
quand Œnone un peu moindre
Que l’autre, en toi
berger
chercha pareils
accords !
Heureux
te fit la
Lune,
Endymion,
alors
Que tant de nuits
sa bouche
à toi se vint rejoindre :
Tu fus, Céphale, heureux
quand
l’amour
vint époindre
L’Aurore
sur ton
veuf,
et pâle,
et
triste
corps.
Ces quatre étant mortels des
Déesses
se virent
Aimés : mais leurs
amours
assez ne se couvrirent.
Au silence
est mon bien :
par lui, Maîtresse,
à toi
Dans mon
cœur
plein,
content
et
couvert
je n’égale
Vénus,
Œnone, Lune, Aurore :
ni à moi
Leur
Anchise, Pâris, Endymion, Céphale.
En ligne le
24/05/19.
Dernière révision le 14/05/20.