Toujours
le Dieu de
l’air
forcené
de courroux
N’éclate contre nous
l’horreur
de son tonnerre,
Toujours le Chien
ardent
ne crevasse la terre,
Éole
ne foudroie incessamment sur nous.
Neptune,
le principe et le père de tous,
Boursouflé
çà et là toujours ne se desserre,
Toujours le
froid
hiver
les ondes
ne resserre,
Et l’Aurore
toujours ne fuit son
vieil
époux.
L’on
ne voit rien de
sûr en ce
terrestre
monde,
Une chose fuit l’autre, ainsi qu’une
onde
une onde,
Le ciel
même inconstant
se vire en mille
tours.
Ainsin incessamment je n’aurai
de la peine,
Si ma Maîtresse
est rude,
elle sera
humaine,
Or’ le sujet de
maux,
puis celui des amours.
Toujours
le Dieu de
l’air
forcené
de courroux
N’éclate
contre nous
l’horreur
de son tonnerre,
Toujours le Chien
ardent
ne crevasse la terre,
Éole
ne foudroie incessamment sur nous.
Neptune,
le principe et le père de tous,
Boursouflé
çà et là toujours ne se
desserre,
Toujours le
froid
hiver
les ondes
ne resserre,
Et l’Aurore
toujours ne fuit son
vieil
époux.
L’on ne voit rien de
sûr en ce
terrestre
monde,
Une chose fuit l’autre,
ainsi qu’une
onde
une onde,
Le ciel
même inconstant
se vire en mille
tours.
Ainsin incessamment je
n’aurai
de la peine,
Si ma Maîtresse
est rude, elle sera
humaine,
Or’ le sujet de
maux,
puis celui des amours.
En ligne le 31/12/22.
Dernière révision le 24/09/24.