Ronsard. Pindare français, l’honneur des poètes, grand, Terpandre, amant vendômois, fameux, harpeur, divin, aime-musique, docte, prince des odes, fils d’Apollon, aime-peinture, lyrique.
La très docte et non vulgaire poésie de M. P. de Ronsard gentilhomme Vendômois, au commencement des ignorants aboyée, est aujourd’hui d’un chacun si favorablement reçue, signamment de ceux qui savent dextrement manier le bâton poétique, qu’il n’y a celui qui ne le confesse être le prime entre tous les poètes Français. Et veux aussi que tu saches, Lecteur, comme ses œuvres ont été la principale cause de la peine que j’ai prise à te faire ce recueil d’épithètes, ayant trouvé un plaisir incroyable à sa naïve façon de les accommoder.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 233r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_472_473]
(texte modernisé).
[Ronsardin /-ine /-s. Loir, lyre, ode, sonnet, vers.]
[Ronsardique. Loir, ode, poésie.]
[Second Ronsard. La Péruse.]
[Truchement de Ronsard. Belleau.]
[Voir aussi Alcine, Cassandre, éternité, Mânes, Nil, quignon.]
[Voir aussi Baïf, Buttet, Des Autels, Dorat, Du Bellay, Jodelle, Magny, Muret, Peletier, Sainte-Marthe, Salel, Scève, Tahureau, Tyard ; voir encore Alcée, Anacréon, Corinne, Hésiode, Homère, Lycophron, Ménandre, Pindare, Sappho, Théocrite et Chérile, ainsi que Catulle, Horace, Juvénal, Lucain, Lucrèce, Martial, Ovide, Plaute, Tibulle, Virgile et Pétrarque.]
Ronsard. Pindare françois, l’honneur des poetes, grand, Terpandre, amant vandomois, fameus, harpeur, diuin, aime-musique, docte, prince des odes, fils d’Apollon, aime-peinture, lyrique.
La tresdocte & non vulgaire poësie de M. P. de Ronsard gentilhomme Vandomois, au commencement des ignorans abbaiee, est auiourd’hui d’vn chacun si fauorablement receuë, signamment de ceux qui sçauent dextrement manier le baston poetique, qu’il n’y a celuy qui ne le confesse estre le prime entre tous les poetes François. Et veux aussi que tu sçaches, Lecteur, comme ses oeuures ont esté la principale cause de la peine que i’ai prise à te faire ce recueil d’epithetes, aiant trouué vn plaisir incroiable à sa naïue façon de les accommoder.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 233r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_472_473]
(texte original).
[Ronsardin /-ine /-s. Loir, lyre, ode, sonnet, vers.]
[Ronsardique. Loir, ode, poesie.]
[Truchement de Ronsard. Belleau.]
[Voir aussi æternité, Alcine, Cassandre, Manes, Nil, quignon.]
[Voir aussi Aurat, Baif, Bellay, Buttet, Des Autels, Iodelle, Magni, Muret, Pelletier, Pontus de Thiard, Saincte Marthe, Salel, Sceue, Tahureau ; voir encore Alcee, Anacreon, Corinne, Hesiode, Homere, Lycophron, Menandre, Pindare, Sapphon, Theocrite et Cherile, ainsi que Catule, Horace, Iuuenal, Lucain, Lucrece, Martial, Ouide, Plaute, Tybulle, Virgile et Petrarque.]