En la
froideur
de ton cristal
gelé,
En feu
vivant
dans ma moelle
tendre,
Tu vaincs Denise,
et Olive,
et Cassandre,
Je vaincs Vendôme,
Anjou,
et Le Puley.
C’est trop, ma
Nymphe,
hélas, c’est trop brûlé.
Ce mien, tien cœur,
ce mien cœur
est en cendre :
Et cet esprit
que je soulais dépendre
À t’adorer, de moi s’est
écoulé.
Méline,
étreinte
en l’amoureux
lien,
Rend plus
mielleux
l’esprit
Catullien
Au vers
mignard
de son
heureux
Baïf.
Donc adoucis la
rigueur
qui me touche :
Car si je vois ta beauté
moins
farouche,
Je te peindrai d’un
pinceau
plus
naïf.
En la
froideur
de ton cristal
gelé,
En feu
vivant
dans ma moelle
tendre,
Tu vaincs Denise,
et
Olive,
et Cassandre,
Je vaincs Vendôme,
Anjou,
et Le Puley.
C’est trop, ma
Nymphe,
hélas, c’est trop brûlé.
Ce mien, tien cœur,
ce mien cœur
est en cendre :
Et cet esprit
que je soulais dépendre
À t’adorer, de moi s’est
écoulé.
Méline,
étreinte
en l’amoureux
lien,
Rend plus
mielleux
l’esprit
Catullien
Au vers
mignard
de son
heureux
Baïf.
Donc adoucis la
rigueur
qui me touche :
Car si je vois ta beauté
moins
farouche,
Je te peindrai d’un
pinceau
plus naïf.
En ligne le
17/06/17.
Dernière révision le 16/05/20.