S’enflant, enorgueilli, des
vers
du Vendômois :
Et le Loire
fameux
s’enfle dessous la
voix
De son Bellay,
mourant d’une mort
trop
hâtive.
La
Seine
hausse son eau
d’une course
plus vive,
Par Baïf,
par Jodelle,
ornement
du François,
Sarthe,
et Huisne, en leur cours
à l’envi de ces trois,
Par Garnier, par Belleau
pousse leur eau
tardive.
Ainsi le
ruisseau
lent,
et le fleuve
endormi,
Comme une
grande
mer,
ayant un Poète
ami,
Fait son flot
inconnu
voir aux terres
étranges.
Heureuse notre
mer,
toi Viene heureux aussi,
Elle qui sous tes vers
se doit enfler ainsi :
Et toi qui sur ses
flots
dois charger tes louanges.
Le Loir marque les bords de ses plus hautes rives,
S’enflant, enorgueilli, des
vers
du Vendômois :
Et le Loire
fameux
s’enfle dessous la
voix
De son Bellay,
mourant d’une mort
trop
hâtive.
La
Seine
hausse son eau
d’une course
plus vive,
Par Baïf,
par Jodelle,
ornement
du François,
Sarthe,
et Huisne, en leur cours
à l’envi de ces trois,
Par Garnier, par Belleau
pousse leur eau
tardive.
Ainsi le
ruisseau
lent,
et le fleuve
endormi,
Comme une
grande
mer,
ayant un Poète
ami,
Fait son flot
inconnu
voir aux terres
étranges.
Heureuse notre
mer,
toi Viene
heureux aussi,
Elle qui sous tes vers
se doit enfler ainsi :
Et toi qui sur ses
flots
dois charger tes louanges.
En ligne le
18/01/18.
Dernière révision le 27/10/22.