««« lies­se »»»

« liesse » dans :
Phi­lieul
1548 [1555]
~ L’honoré jour… (Canz., 157)
Des Autels
1551
~ Mon cœur, ma voix…
Fon­taine
1555
~ Mon petit fils… [strophe 5]
Bu­gnyon
1557
~ Ni le doux chant…
Ron­sard
1559
~ [Comme une tendre vigne…]
de Brach
1576
~ Ni voir à mon retour…
Bi­rague
1585
~ Si quand le corps…
Isaac Habert
1585
~ [Tu as laissé ton Dieu…]
Mage de Fief­me­lin
1601
~ La neige n’est tou­jours…
Anne de Mar­quets
1605
~ Plus on charge la palme…
Certon
1620
~ Sans fin les vents émus…

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Liesse. Joyeuse, plai­sante, douce, gaie, amou­reuse, extrême. vois joie.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 149r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_304]
(texte modernisé).

[[Ma] liesse. Nos amou­reux tran­sis […] en leurs écrits, prin­ci­pa­le­ment vers celles dont ils espèrent obte­nir quel­que faveur, […] appellent [ain­si leur] amou­reuse ou amante.]

[Voir aussi allé­gresse ou allè­gre­té, gaie­té.]


 

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Liesse. Ioïeuse, plai­sante, douce, gaïe, amou­reuse, extreme. voi ioie.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 149r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_304]
(texte original).

[[Ma] liesse. Noz amou­reus tran­sis […] en leurs escrits, prin­ci­pa­le­ment vers celles dont ils esperent obte­nir quel­que faueur, […] appelent [ain­si leur] amou­reuse ou amante.]

[Voir aussi alai­gresse ou alai­gre­té, gaye­té.]