Ni le
doux
chant
des rossignols ramages,
Qui vont plaignant nos regrets
de jeunesse,
Ni les festins
accomplis
d’allégresse,
Ne peuvent faire oublier tes
outrages :
Ni de mon
Luth
argentin
les passages
Harmonieux,
fredonnés
d’hardiesse,
Lorsque mes sens s’endorment en
liesse,
Au tremblement
de ses
mignons
cordages :
Ni les
trésors
que l’on peut recevoir
De toute l’Inde,
et que l’on peut avoir,
Des hauts
prélats,
me serait agréable.
Car les
faveurs,
Amour,
de ma Riante,
Comme regard
et propos
honorable,
Sont les seuls biens
de ma vie
repente.
Ni le
doux
chant
des rossignols ramages,
Qui vont plaignant nos regrets
de jeunesse,
Ni les festins
accomplis
d’allégresse,
Ne peuvent faire oublier tes
outrages :
Ni de mon
Luth
argentin
les passages
Harmonieux,
fredonnés
d’hardiesse,
Lorsque mes sens s’endorment en
liesse,
Au tremblement
de ses
mignons
cordages :
Ni les
trésors
que l’on peut recevoir
De toute l’Inde,
et que l’on peut avoir,
Des hauts
prélats,
me serait agréable.
Car les
faveurs,
Amour,
de ma Riante,
Comme regard
et propos
honorable,
Sont les seuls biens
de ma vie
repente.
En ligne le
26/02/12.
Dernière révision le 23/03/23.