Ni voir à mon
retour
mes parents
contentés,
Ni voir de mes amis
une troupe
chérie,
Ni voir les champs
fertils
de ma
chère
Patrie,
D’où je m’étais banni
déjà par trois
Étés.
Ni voir en notre
port
mille nouvelletés,
Qu’apporte
l’Océan,
alors qu’il se marie
À nos fleuves
Gascons, desquels le cours
varie
Par le regorgement de ses
flots
irrités.
Ni me voir contenté
d’une
large
abondance,
Me voyant être exempt de l’étroite
indigence,
Que le
pauvre
écolier
a toujours près de soi.
Je n’ai de tout cela
reçu tant de
liesse,
Que du seul souvenir
de ma
belle
maîtresse,
Qui peut-être a perdu le
souvenir
de moi.
Ni voir à mon
retour
mes parents
contentés,
Ni voir de mes amis
une troupe
chérie,
Ni voir les champs
fertils
de ma
chère
Patrie,
D’où je m’étais banni
déjà par trois
Étés.
Ni voir en notre
port
mille nouvelletés,
Qu’apporte
l’Océan,
alors qu’il se marie
À nos fleuves
Gascons, desquels le cours
varie
Par le regorgement de ses
flots
irrités.
Ni me voir contenté
d’une
large
abondance,
Me voyant être exempt de l’étroite
indigence,
Que le
pauvre
écolier
a toujours près de soi.
Je n’ai de tout cela
reçu tant de
liesse,
Que du seul souvenir
de ma
belle
maîtresse,
Qui peut-être a perdu le
souvenir
de moi.
En ligne le
10/04/18.
Dernière révision le 02/03/23.