««« Éri­dan »»»

« Pô » ou « Éri­dan » dans :
Pé­trarque
XIVe  siècle [1545]
~ Non Tesin, Pò, Varo… (Canz., 148)
Phi­lieul
1548 [1555]
~ Ni Pô, Tésin, ni Tibre… (Canz., 148)
Bi­rague
1585
~ Toujours, tou­jours, hélas…
Angot
1603
~ Ni mes humides pleurs…
Certon
1620
~ Pour avoir vu…

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Éridan. Cor­nu, fa­meux, père des fleuves, vio­lent, li­mo­neux, pro­fond, su­perbe, on­doyant, roide.

Ce fleuve d’Ita­lie à pré­sent porte le nom de Pô, lequel arrose par ses em­bras­se­ments toute la Lom­bar­die, son cours durant 388 milles, et traî­nant avec lui trente ri­vières en la mer Adri­a­tique.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 90r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_186]
(texte modernisé).

[Voir aussi Phaé­ton.]

[Voir aussi Arne, Tibre, Vul­turne ; voir Ga­ronne, Loir, Loire, Marne, Rhin, Rhône, Saône, Sarthe, Seine et Ta­mise ; voir Danube, Hèbre, Tane ; voir Eu­phrate, Gange, Jour­dain, Nil ; voir Aché­loüs, Éry­manthe, Eu­rote, La­don, Pac­tole, Phase, Xanthe ; voir en­core les fleuves infer­naux Aché­ron, Co­cyte, Lèthe, Phlé­gé­thon, Styx.]


 

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Eridan. Cor­nu, fa­meus, pere des fleuues, vio­lent, li­mon­neus, pro­fond, su­perbe, on­doiant, roide.

Ce fleuue d’Ita­lie à pre­sent porte le nom de Po, lequel arrose par ses em­bras­se­mens toute la Lom­bar­die, son cours durant 388. milles, & trai­nant auec lui trente ri­uieres en la mer Adri­atique.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 90r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_186]
(texte original).

[Voir aussi Phae­ton.]

[Voir aussi Arne, Tybre, Vul­turne ; voir Ga­ronne, Loir, Loire, Marne, Rhein, Rhosne, Saone, Sarte, Seine et Ta­mise ; voir Danube, Hebre, Tane ; voir Eu­phrate, Gange, Iour­dain, Nil ; voir Ache­loys, Ery­manthe, Eu­rote, La­don, Pac­tole, Phase, Xanthe ; voir en­core les fleuves infer­naux Ache­ron, Co­cyte, Lethe, Phle­ge­thon, Styx.]