Marne. Îleuse, azurée, labourable, c.-à-d. navigable.
La rivière de Marne vient d’un village nommé Marneuf, à une lieue de Langres, entre deux coteaux de montagne, passe au bas de Jainville, près Saint-Dizier, et finablement tombe à Charenton deux petites lieues au-dessus de Paris dans la rivière de Seine.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 159r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_324]
(texte modernisé).
[Voir aussi fleuve et Garonne, Loir, Loire, Rhin, Rhône, Saône, Sarthe, et Tamise ; voir Arne, Éridan, Tibre, Vulturne ; voir Danube, Hèbre, Tane ; voir Euphrate, Gange, Jourdain, Nil ; voir Acheloüs, Érymanthe, Eurote, Ladon, Pactole, Phase, Xanthe ; voir encore les fleuves infernaux Achéron, Cocyte, Lèthe, Phlégéthon, Styx.]
Marne. Isleuse, azuree, labourable, I. nauigable.
La riuiere de Marne vient d’vn village nommé Marneuf, à vne lieuë de Langres, entre deux costaus de montagne, passe au bas de Iainuille, pres sainct Disier, & finablement tombe à Charenton deux petites lieuës au dessus de Paris dans la riuiere de Seine.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 159r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_324]
(texte original).
[Voir aussi fleuue et Garonne, Loir, Loire, Rhein, Rhosne, Saone, Sarte, et Tamise ; voir Arne, Eridan, Tybre, Vulturne ; voir Danube, Hebre, Tane ; voir Euphrate, Gange, Iourdain, Nil ; voir Acheloys, Erymanthe, Eurote, Ladon, Pactole, Phase, Xanthe ; voir encore les fleuves infernaux Acheron, Cocyte, Lethe, Phlegethon, Styx.]