disposition du
préambule
(vers
1-3, 5-6, 9-11)
propos :
Qui
voit
(Phébus
sur le Taureau
monté)
Le
blanc, l’azur, le vert,
dont Flora
dore,
Les prés
herbus,
peut penser voir encore,
Le gai
printemps
de sa
douce
beauté.
Nombrant
les rais,
desquels au temps
d’été,
Diversement
l’arc-en-Ciel
se colore,
L’infinité des
grâces,
que j’adore,
Il peut nombrer en un compte arrêté.
Et qui
pourra les Atomes
comprendre
Du grand
espace,
auquel l’on voit étendre,
De l’œil
du Ciel la
lumineuse
flamme :
Celui, possible, aussi pourra
connaître,
Dedans mon cœur
combien grande peut être,
L’affection,
que je porte à ma
Dame.
Qui
voit (Phébus
sur le Taureau
monté)
Le
blanc, l’azur, le vert,
dont Flora
dore,
Les prés
herbus,
peut penser voir encore,
Le gai
printemps
de sa
douce
beauté.
Nombrant
les rais,
desquels au temps
d’été,
Diversement
l’arc-en-Ciel
se colore,
L’infinité des
grâces,
que j’adore,
Il peut nombrer en un compte arrêté.
Et qui
pourra les Atomes
comprendre
Du grand
espace,
auquel l’on voit étendre,
De l’œil
du Ciel
la
lumineuse
flamme :
Celui, possible, aussi pourra
connaître,
Dedans mon cœur
combien grande peut être,
L’affection,
que je porte à ma
Dame.
En ligne le 06/06/21.
Dernière révision le 10/09/21.