En quel
fleuve
areneux
jaunement s’écouloit
L’or
qui blondist si bien les
cheveux
de madame?
Et du
brillant
éclat de sa
jumelle
flâme,
Tout astre
surpassant, quel
haut
ciel
s’emperloit?
Mais quelle
riche
mer
le coral
receloit
De cette
belle
levre,
où mon desir
s’affame?
Mais en quel
beau
jardin
la rose
qui donne ame
A ce teint
vermeillet
au matin
s’étaloit?
Quel
blanc
rocher
de Pare,
en ettoffe
marbrine
Ha tant bien montagné cette
plaine
divine?
Quel parfum
de Sabée
ha produit son odeur?
O trop
heureux
le fleuve,
heureux
ciel,
mer
heureuse,
Le jardin,
le rocher,
la Sabée
odoreuse,
Qui nous ont enlustré le
beau
de son honneur.
En quel
fleuve
areneux
jaunement s’écouloit
L’or
qui blondist si bien les
cheveux
de madame?
Et du
brillant
éclat de sa
jumelle
flâme,
Tout astre
surpassant, quel
haut
ciel
s’emperloit?
Mais quelle
riche
mer
le coral
receloit
De cette
belle
levre,
où mon desir
s’affame?
Mais en quel
beau
jardin
la rose
qui donne ame
A ce teint
vermeillet
au matin
s’étaloit?
Quel
blanc
rocher
de Pare,
en ettoffe
marbrine
Ha tant bien montagné cette
plaine
divine?
Quel parfum
de Sabée
ha produit son odeur?
O trop
heureux
le fleuve,
heureux
ciel,
mer
heureuse,
Le jardin,
le rocher,
la Sabée
odoreuse,
Qui nous ont enlustré le
beau
de son honneur.
En ligne le
01/09/19.
Dernière révision le 31/08/23.