««« Sa­bée »»»

« Sabée » ou « Sabe » dans :
Tahu­reau
1554 [1574]
~ En quel fleuve aré­neux…
Chante­louve
1576
~ Autant de feuilles vertes…

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Sabée. Odo­rante ou odo­reuse, riche, port’en­cens, heu­reuse, loin­taine, em­bau­mée, éthio­pienne, pré­cieuse, odo­ri­fé­rante, par­fu­mée.

La Sabée est une région voi­sine de l’Ara­bie heu­reuse, ain­si dite à cause de la ville nom­mée Sabe, assise sur une mon­tagne, qui fut la cité métro­po­li­taine et capi­tale d’Éthio­pie. Elle abonde en myrrhe, can­nelle et en­cens, et dit-on que jadis y crois­sait la plante, de laquelle on tirait le baume.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 236r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_478]
(texte modernisé).

[Sabéan /-anne. Encens, myrrhe, odeur bonne.]


 

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Sabee. Odo­rante ou odo­reuse, riche, port’-en­cens, heu­reuse, loing­taine, em­bas­mee, æthio­pienne, pre­cieuse, odo­ri­fe­rante, par­fu­mee.

La Sabee est vne region voi­sine de l’Ara­bie heu­reuse, ain­si dite à cause de la ville nom­mee Sabe, assise sur vne mon­tagne, qui fut la cité metro­po­li­taine & capi­tale d’Æthio­pie. Elle abonde en myrrhe, ca­nelle & en­cens, & dict on que iadis y crois­soit la plante, de laquelle on tiroit le baume.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 236r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_478]
(texte original).

[Sabean /-anne. Encens, myrrhe, odeur bonne.]