Et la
douleur
d’un coup
dans mon cœur
enfoncé,
Et l’effort
d’un lien
serrement
enlacé,
Qui m’ard, me playe, et lie en
l’amour
d’une dame.
De plus en plus en moi ce
feu
couvert
s’enflamme.
Mon cœur
d’un
nouveau
trait
coup
sur coup
est blessé,
Et d’un nœud
plus
étroit
mon lien
est pressé,
Brûlant, playant, serrant, mon
cœur,
mon corps,
mon âme.
Mais si
doux
est ce feu,
ce trait,
et ce lien,
Qu’au chaud,
qu’au coup,
qu’au nœud
je cherche le moyen
D’être brûlé,
playé, de
prisonnier
me rendre.
Espérant que
j’aurai, si
long
est leur effort,
Étant gêné du
nœud,
par ma playe,
la mort :
Si plutôt par le
feu
je ne suis mis en cendre.
Je chante la chaleur d’une brûlante flamme,
Et la
douleur
d’un
coup
dans mon cœur
enfoncé,
Et l’effort
d’un
lien
serrement
enlacé,
Qui m’ard, me playe,
et lie en l’amour
d’une
dame.
De plus en plus en moi ce
feu
couvert
s’enflamme.
Mon cœur
d’un
nouveau
trait
coup
sur coup
est blessé,
Et d’un
nœud
plus
étroit
mon lien
est pressé,
Brûlant,
playant,
serrant, mon
cœur,
mon corps,
mon âme.
Mais si
doux
est ce feu,
ce trait,
et ce lien,
Qu’au
chaud,
qu’au
coup,
qu’au
nœud
je cherche le moyen
D’être
brûlé,
playé, de
prisonnier
me rendre.
Espérant que
j’aurai, si
long
est leur effort,
Étant gêné du
nœud,
par ma playe,
la mort :
Si plutôt par le
feu
je ne suis mis en cendre.
En ligne le
21/10/11.
Dernière révision le 05/12/24.