Ni
le refus
des
Nymphettes
craintives,
Ni le pourchas des
Satyres
pelus,
Ni la fraîcheur
des verts
bois
chevelus,
Ni la fierté
des
bêtes
fugitives.
Ni le
tapis
des printanières
rives,
Ni la grosseur des
hauts
monts
bosselus,
Ni le séjour
des
antres
mousselus,
Ni le cristal
des
fontaines
plus vives.
Ni le
jargon
des
jasards
Oisillons,
Ni le trésor
des blondoyants
sillons,
Ni l’appareil
d’une
pompe
suivie.
Non des
grands
Rois
la Cour,
l’aise,
ni l’heur,
Ne m’éjouit : ayant perdu la
Fleur
Pour qui je suis et sans âme,
et sans vie !
Ni
le refus
des
Nymphettes
craintives,
Ni le pourchas des
Satyres
pelus,
Ni la fraîcheur
des verts
bois
chevelus,
Ni la fierté
des
bêtes
fugitives.
Ni le
tapis
des printanières
rives,
Ni la grosseur des
hauts
monts
bosselus,
Ni le séjour
des
antres
mousselus,
Ni le cristal
des
fontaines
plus vives.
Ni le
jargon
des
jasards
Oisillons,
Ni le trésor
des blondoyants
sillons,
Ni l’appareil
d’une
pompe
suivie.
Non des
grands
Rois
la Cour,
l’aise,
ni l’heur,
Ne m’éjouit : ayant perdu la
Fleur
Pour qui je suis et sans âme,
et sans vie !
En ligne le 05/12/21.
Dernière révision le 16/04/22.