Te laisse, t’abandonne,
et n’ai plus
soin
de toi :
Toi qui sembles aussi n’avoir plus
soin
de moi,
Moi qui perds avec toi ma Reine, et ma
Maîtresse.
Maîtresse,
qu’ai-je dit ? c’est plutôt ma
Déesse,
Déesse
qui me comble et de
joie,
et d’émoi :
Émoi
comblé de joie
alors que je la vois,
La
vois,
l’honore, et
sers,
sans
deuil,
sans
fard,
sans cesse.
Sans cesse puisses-tu
son absence
pleurer,
Pleurer, voire toujours en
regret
demeurer,
Demeurer, et souffrir
l’horreur
d’un
gros
nuage.
Nuage
qui te couvre, à tant que ce
Soleil,
Soleil
qui luit sans pair, te montre son
bel
œil :
Œil
qui donne
âme
au corps,
et lumière
à
l’ombrage.
ADIEU Paris Adieu, de bon cœur je te laisse,
Te laisse,
t’abandonne,
et n’ai plus
soin
de toi :
Toi qui sembles aussi n’avoir plus
soin
de moi,
Moi qui perds avec toi ma Reine, et ma
Maîtresse.
Maîtresse,
qu’ai-je dit ? c’est plutôt ma
Déesse,
Déesse
qui me comble et de
joie,
et d’émoi :
Émoi
comblé de joie
alors que je la vois,
La
vois,
l’honore, et
sers,
sans
deuil,
sans
fard,
sans cesse.
Sans
cesse puisses-tu
son absence
pleurer,
Pleurer, voire toujours en
regret
demeurer,
Demeurer, et souffrir
l’horreur
d’un
gros
nuage.
Nuage
qui te couvre, à tant que ce
Soleil,
Soleil
qui luit sans pair, te montre son
bel
œil :
Œil
qui donne
âme
au corps,
et lumière
à
l’ombrage.
En ligne le
14/07/22,
Dernière révision le 23/06/23.