Ni le
plaisant
palais,
ni le bannissement,
Ni l’honneur
doucereux,
ni la vie
servile,
Ni l’or
éblouissant,
ni la disette
vile,
Ni vivre en délicat, ni vivre pauvrement ;
Ni se voir allié en lieu bien
hautement,
Ni se voir abaissé voire en
lointaine
ville,
Ni du monde
la paix,
ni la guerre
civile,
Ni
gracieux
accueil,
ni rude
traitement ;
Ni
l’amour
des amis,
ni des parents
la haine,
Ni le bras
des méchants, ni leur flatterie
vaine,
Ni le fer
aiguisé,
ni le feu
dévorant,
Ni la
cruelle
mort,
ni d’enfer
la puissance,
N’ôteront de mon
cœur,
de Dieu
la souvenance,
Ni ne l’empêcheront de m’être
secourant.
Ni le
plaisant
palais,
ni le bannissement,
Ni l’honneur
doucereux,
ni la vie
servile,
Ni l’or
éblouissant, ni la disette
vile,
Ni vivre en délicat,
ni vivre pauvrement ;
Ni se voir allié en lieu bien
hautement,
Ni se voir abaissé voire en
lointaine
ville,
Ni du monde
la paix,
ni la guerre
civile,
Ni
gracieux
accueil,
ni rude
traitement ;
Ni
l’amour
des amis,
ni des parents
la haine,
Ni le bras
des méchants, ni
leur flatterie
vaine,
Ni le fer
aiguisé,
ni le feu
dévorant,
Ni la
cruelle
mort,
ni d’enfer
la puissance,
N’ôteront
de mon cœur,
de Dieu
la souvenance,
Ni ne l’empêcheront de m’être
secourant.
En ligne le
15/05/10.
Dernière révision le 03/03/24.