««« tra­ce ou tra­çure »»»

« trace », « traces » ou « trac » dans :
Phi­lieul
1548 [1555]
~ D’un coup amour… (Canz., 178)
Du Bellay
1549
~ La Nuit m’est courte…
1550
~ Ni par les bois…
Ron­sard
1552
~ Jeune Her­cu­lin…
~ Rome, qui fus sans Rome…
Le Saulx
1577
~ Si quelqu’un peut nom­brer… (Th., 147)
Hes­teau
1578
~ Comme on voit un che­vreuil…
Le Gay­gnard
1585
~ Ma Plume mainte fois…
Malde­ghem
1606
~ Tant d’ani­maux… (Canz. 237)

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Trace ou Tra­çure. Sui­vante, noire, longue ou lon­guette, an­cienne, re­mar­quable, ma­ni­feste, em­preinte, glis­sante, frayée, appa­rente, pou­dreuse, li­ma­cière, aper­ce­vante. Le dimi­nu­tif Tra­cette.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 265v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_537]
(texte modernisé).

[Tracé /-ée. Gaze, pas, por­trait.]

[Trace-forêt. San­glier.]


 

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Trace ou Tras­sure. Sui­uante, noire, longue ou lon­guette, an­cienne, re­mer­quable, ma­ni­feste, em­prainte, glis­sante, fraiee, appa­rente, pou­dreuse, li­mas­siere, apper­ce­uante. Le dim. Tra­cette.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 265v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_537]
(texte original).

[Trassé /tracee. Gaze, pas, por­traict.]

[Trasse-forest. San­glier.]