Le
trésor
crêpelu
de cette
belle
tresse
Retint ma liberté
dedans l’or
de ses nœuds,
Cette
rare
beauté
m’aveugla les deux
yeux,
Et mon
libre
vouloir
la reçut pour
maîtresse.
L’albâtre
potelé
de sa main
vainqueresse
Asservit dessous soi mon
cœur
aventureux,
Et
l’âme
de sa voix
d’un son
mélodieux
Enchanta mon oreille
et en fut larronnesse.
Mon
cœur
n’est plus à moi,
ores je suis captif,
L’oreille
m’assourdit, et
mon
œil
n’est plus
vif,
En tel deuil
m’a réduit sa
grâce
non
pareille.
Encore suis-je heureux
d’esclaver à ses
lois,
Pour son
poil, sa
beauté, et sa
main, et sa
voix,
Ma
liberté, mes
yeux, mon
cœur, et mon
oreille.
Le
trésor
crêpelu
de cette
belle
tresse
Retint ma liberté
dedans l’or
de ses nœuds,
Cette
rare
beauté
m’aveugla les
deux yeux,
Et mon
libre
vouloir
la reçut pour
maîtresse.
L’albâtre
potelé
de sa main
vainqueresse
Asservit dessous soi mon
cœur
aventureux,
Et
l’âme
de sa voix
d’un
son
mélodieux
Enchanta mon oreille
et en fut larronnesse.
Mon
cœur
n’est plus
à moi,
ores je suis
captif,
L’oreille
m’assourdit,
et
mon
œil
n’est plus
vif,
En tel deuil
m’a
réduit sa
grâce
non
pareille.
Encore suis-je heureux
d’esclaver
à ses
lois,
Pour son
poil, sa
beauté, et
sa
main, et
sa
voix,
Ma
liberté, mes
yeux, mon
cœur, et
mon
oreille.
En ligne le
20/03/23.
Dernière révision le 24/05/24.