DEs
humains
la
beauté,
le
teint,
la
bonne
grâce,
Par le temps
coutumier,
se perd,
s’en va,
s’enfuit,
La force
par le temps
son maître
plus ne suit :
L’âge
qu’amène tout nous fait changer de
place.
Une seule
vertu
par le temps
ne s’efface,
Aux astres
bienheureux
les siens elle conduit,
Et à les élever incessamment poursuit,
Le larron
ne la peut dérober quoi qu’il fasse.
Ensuis-la donc, mon
fils,
vu qu’avec le savoir
C’est le plus
certain
bien
que l’homme
puisse avoir,
Toujours va avec
nous, en même temps que nousquant-et-nous
jamais ne nous oublie.
,, Le stable
placer
aprèspostposer au
caduc
et
terrien,
,, Et le
faux
vouloir suivre au lieu du
certain
bien
,, C’est imiter d’un
fol
l’insensée
folie.
DEs
humains
la
beauté,
le
teint,
la
bonne
grâce,
Par le temps
coutumier,
se perd,
s’en
va,
s’enfuit,
La force
par le temps
son maître
plus ne suit :
L’âge
qu’amène
tout nous fait changer de
place.
Une seule
vertu
par le temps
ne s’efface,
Aux astres
bienheureux
les siens elle conduit,
Et à les élever incessamment poursuit,
Le larron
ne la peut dérober quoi qu’il
fasse.
Ensuis-la donc,
mon fils, vu qu’avec
le savoir
C’est le plus
certain
bien
que l’homme
puisse avoir,
Toujours va avec
nous, en même temps que nousquant-et-nous
jamais ne nous oublie.
,, Le
stable placer
aprèspostposer au
caduc
et
terrien,
,, Et le
faux
vouloir suivre au lieu du
certain
bien
,, C’est
imiter d’un
fol
l’insensée
folie.
En ligne le
07/03/24.
Dernière révision le 24/05/24.