Doux
dédain,
douce
paix
qu’un
doux
courroux
amène,
Doux
regard,
doux
maintien,
doux
parler,
beauté
douce,
Doux
trait,
que dans mon cœur
Amour
doucement pousse,
Douceur,
du doux
brasier
de l’amour,
toute pleine.
Âme
défâche-toi, cesse ta plainte
vaine,
Et plus contre ton heur folle ne te courrouce,
Mais remercie Amour,
qui choisit dans sa trousse,
Le trait,
qui d’un
doux
coup
te tient en
douce
peine.
Peut-être, un
jour
quelqu’un piqué de
douce
envie
En soupirant dira : Qu’en une douce
flamme
D’une très
douce
amour,
cet homme
usa sa vie !
Ô
beauté
seul honneur
de la race
mortelle,
(Dira l’autre) pourquoi du
temps
de cette dame
Ne naquis-je, ou pourquoi du mien ne naquit-elle !
Doux
dédain,
douce
paix
qu’un
doux
courroux
amène,
Doux
regard,
doux
maintien,
doux
parler,
beauté
douce,
Doux
trait,
que dans mon cœur
Amour
doucement pousse,
Douceur,
du doux
brasier
de l’amour,
toute pleine.
Âme
défâche-toi, cesse ta plainte
vaine,
Et plus contre ton heur
folle ne te courrouce,
Mais remercie
Amour,
qui choisit dans sa trousse,
Le
trait,
qui d’un
doux
coup
te tient en
douce
peine.
Peut-être,
un jour
quelqu’un piqué de
douce
envie
En soupirant
dira : Qu’en
une douce
flamme
D’une
très douce
amour,
cet homme
usa sa vie !
Ô
beauté
seul honneur
de la race
mortelle,
(Dira l’autre)
pourquoi du temps
de cette dame
Ne naquis-je, ou pourquoi
du mien ne naquit-elle !
En ligne le
26/02/16.
Dernière révision le 11/11/23.