Doux
fut le trait,
qu’amour
hors de sa trousse,
Pour me tuer me tira doucement,
Quand je fus pris au
doux
commencement
D’une douceur
si doucettement
douce.
Doux
est son ris,
et sa voix
qui me pousse
L’âme
du corps,
pour errer lentement,
Devant son chant
marié gentement
Avec mes vers
animés de son
pouce.
Telle
douceur
de sa voix
coule à bas,
Que sans l’ouïr vraiment on ne sait pas,
Comme en ses rets
amour
nous encordelle.
Sans l’ouïr dis-je
amour
même enchanter,
Doucement rire, et doucement chanter,
Et moi mourir doucement auprès d’elle.
Doux
fut le trait,
qu’amour
hors de sa trousse,
Pour me tuer me tira doucement,
Quand je fus pris au
doux
commencement
D’une douceur
si doucettement
douce.
Doux
est son ris,
et sa voix
qui me pousse
L’âme
du corps,
pour errer lentement,
Devant son chant
marié gentement
Avec mes vers
animés de son
pouce.
Telle
douceur
de sa voix
coule à bas,
Que sans l’ouïr vraiment on ne sait pas,
Comme en ses rets
amour
nous encordelle.
Sans l’ouïr dis-je
amour
même enchanter,
Doucement rire, et doucement chanter,
Et moi mourir doucement auprès d’elle.
En ligne le
04/02/16.
Dernière révision le 10/03/22.