Comme quand la
Cumaine
errante
et
insensée,
Pâlissait tout soudain d’une
froide
terreur,
Ayant laissé du Dieu la
prophète
fureur,
N’étant plus de son
vent
divinement poussée,
Ou
comme l’on
voyait la
Thyade
hérissée,
Ou le
fol
Corybant,
enivré d’un
horreur,
Éloigné de vos
yeux
je suis en telle affreur,
Affolé du
regret
qui trouble ma
pensée,
La
terreur
des esprits
agite mon cerveau,
Furieusement surpris d’enthousiasme
nouveau,
Criant, exorcisant, écrivant, mille
charmes,
Jusqu’à ce que je
voi’ le
Ciel
de vos beautés,
Montrer sereinement ses
flambeaux
argentés,
Chassant par sa
clarté
mes
furieuses
alarmes.
Comme quand la
Cumaine
errante
et
insensée,
Pâlissait tout soudain d’une
froide
terreur,
Ayant laissé du Dieu la
prophète
fureur,
N’étant
plus de son vent
divinement poussée,
Ou
comme l’on
voyait la Thyade
hérissée,
Ou le
fol
Corybant,
enivré d’un
horreur,
Éloigné de vos
yeux
je suis en telle
affreur,
Affolé du
regret
qui trouble ma
pensée,
La
terreur
des esprits
agite mon cerveau,
Furieusement surpris d’enthousiasme
nouveau,
Criant,
exorcisant,
écrivant, mille
charmes,
Jusqu’à
ce que je voi’ le
Ciel
de vos beautés,
Montrer sereinement ses
flambeaux
argentés,
Chassant par sa clarté
mes
furieuses
alarmes.
En ligne le 02/09/20.
Dernière révision le 09/11/24.