««« Cumée »»»

« la Cumaine » dans :
Blan­chon
1583
~ Comme quand la Cumaine…

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Cumée. Vieille, docte, pro­phète ou pro­phé­tisse, di­vine.

La Sibylle Cumée, ain­si dite, parce qu’elle était native de Cumes, ayant été déflo­rée par Apol­lon, lui deman­da de vivre autant d’an­nées qu’elle pour­rait prendre de grains de sable dans la main, ce que le Dieu lui octroya : Et par ain­si elle et Nes­tor sont mis au rang de ceux qui ont le plus vécu. Le propre nom de cette Sibylle est Ama­lthée, laquelle Vir­gile appelle Déi­pho­bé.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 73r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_152_153]
(texte modernisé).

[Cuméan. Vieil ou vieil­lard.]

[Voir aussi oracle, prê­tresses, pro­phète et Cas­sandre, Pro­tée.]


 

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Cumee. Vieille, docte, pro­phete ou pro­phe­tisse, di­uine.

La Sibylle Cumee, ain­si dite, parce qu’elle estoit natiue de Cumes, aiant esté def­flo­ree par Apol­lon, lui deman­da de viure autant d’an­nees qu’elle pour­roit prendre de grains de sable dans la main, ce que le Dieu lui octroia : Et par ain­si elle & Nes­tor sont mis au rang de ceux qui ont le plus vescu. Le propre nom de ceste Sibylle est Ama­lthee, laquelle Vir­gile appelle Dei­pho­bé.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 73r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_152_153]
(texte original).

[Cumean. Vieil ou vieil­lard.]

[Voir aussi oracle, pres­tresses, pro­phete et Cas­sandre, Pro­tee.]