Qui
comptera les fleurs
de la saison
nouvelle,
Ou du ciel
azuré
les
rayonnants
flambeaux,
Ou du
grand
Océan
les
écaillés
troupeaux,
Ou la bande
qu’en
l’air
se soutient de son aile :
Qui
comptera les grains
d’une cueillette
belle,
Ou des champs
Auvergnats les Vaches et les veaux,
Ou des
loyaux
amants
les langoureux
travaux,
Ou ceux que de tout temps
usuriers
on appelle.
Qui
comptera le poil
des hommes
bien chenus,
Ou subtil comptera les Atomes
menus,
Ou le
brillant
sablon
du
Libyque
rivage.
Somme
qui comptera les Amours
de Cypris,
Ou des Dames
qui ont l’esprit
aussi
volage,
Celui pourra compter mes
amoureux
soucis.
Qui
comptera les fleurs
de la saison
nouvelle,
Ou du ciel
azuré
les
rayonnants
flambeaux,
Ou du
grand
Océan
les
écaillés
troupeaux,
Ou la bande
qu’en
l’air
se soutient de son aile :
Qui
comptera les grains
d’une cueillette
belle,
Ou des champs
Auvergnats les Vaches et les veaux,
Ou des
loyaux
amants
les langoureux
travaux,
Ou ceux que de tout temps
usuriers
on appelle.
Qui
comptera le poil
des hommes
bien
chenus,
Ou subtil comptera les Atomes
menus,
Ou le
brillant
sablon
du
Libyque
rivage.
Somme
qui comptera les Amours
de Cypris,
Ou des Dames
qui ont l’esprit
aussi
volage,
Celui pourra compter mes
amoureux
soucis.
En ligne le 09/10/24.
Dernière révision le 09/10/24.