Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
««« Parnasse »»»

le « mont qui a jumelle crête », le « double mont » ou « le mont double-sourcil » dans :
Buttet
1561
~ Pource qu’au mont…
Bernier de La Brousse
1618
~ Plutôt Phé­bus…
~ Rien sinon que des vœux…

~#~














◊ le « mont qui a jumelle crête » (Buttet), le « double mont » ou « le mont double-sourcil » (Bernier de La Brousse)
 

Par­nasse. Sacré, che­ve­lu, double-mont, four­chu, mu­séan, saint, deux fois cor­nu, haut, nei­geux, phé­béan, mon­tueux, di­vin.

Parnasse ou Par­nase est une mon­tagne en la région Pho­cide, ayant deux som­mets, dont l’un s’ap­pelle Thi­to­rée, l’autre Hyam­pée. Elle est sacrée aux dieux Bac­chus, et Apol­lon : aucuns disent aus­si qu’en icelle les Muses prirent leur nais­sance.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 194r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_394]
(texte modernisé).

[Parnasside /-s. Casta­lie, chœur, Muses, Phé­bus, poète.]

[Parnassien /-ienne /-s. Casta­lie, chœur, lau­rier, Muses.]

[Voir aussi Deuca­lion et Hé­li­con, Pinde ; voir en­core Chi­mère, Éry­manthe, Hy­mette, Ide, Œté, Olympe, Pé­lion, Rho­do­pé.]


 

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Parnasse. Sacré, che­ue­lu, double-mont, four­chu, mu­sean, saint, deux fois cor­nu, haut, nei­geus, phe­bean, mon­tueus, di­uin.

Parnasse ou Par­nase est vne mon­tagne en la region Pho­cide, aiant deux som­mets, dont l’vn s’ap­pelle Thi­to­ree, l’autre Hyam­pee. Elle est sacree aux dieux Bac­chus, & Apol­lon: aucuns disent aus­si qu’en icelle les Muses prindrent leur nais­sance.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 194r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_394]
(texte original).

[Parnasside /-s. Casta­lie, choeur, Muses, Phœ­bus, poete.]

[Parnassien /-ienne /-s. Casta­lie, choeur, lau­rier, Muses.]

[Voir aussi Deuca­lion et He­li­con, Pinde ; voir en­core Chi­mœre, Ery­manthe, Hy­mette, Ide, Oeté, Olympe, Pe­lion, Rho­do­pé.]

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