Hélicon. Sacré, musien, nymphal, montueux, béotien.
C’est une montagne de Béotie près de Thèbes dédiée à Apollon et aux Muses, lesquelles en sont appelées Héliconides.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 124r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_254]
(texte modernisé).
[Héliconides, héliconiennes. Muses.]
[Voir aussi Parnasse, Pinde et Chimère, Érymanthe, Hymette, Ide, Œté, Olympe, Pélion, Rhodopé ; voir encore Pégase et Hésiode.]
HÉLICON, auj. Zagora-Vouni, mont. de la Grèce propre, sur les confins de la Phocide et de la Béotie, s’étendait de Stiris en Phocide à Thespies en Béotie. On y voyait les fontaines d’Aganippe et d’Hippocrène, le ruisseau du Permesse, les grottes des Libéthrides. Elle était consacrée aux Muses et ornée des statues de ces déesses, ainsi que de celles des grands musiciens et des grands poètes. Le bourg d’Ascra, patrie d’Hésiode, était au pied de l’Hélicon.
Marie-Nicolas BOUILLET,
Dictionnaire universel
d’Histoire et de
Géographie,
vingt-sixième édition, 1878,
p. 849
[Gallica, NUM%M-4849].
Helicon. Sacré, musien, nymphal, montueus, bœotien.
C’est vne montaigne de Bœotie pres de Thebes dedié [sic] à Apollon & aux Muses, lesquelles en sont appellees Heliconides.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 124r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_254]
(texte original).
[Heliconides, heliconiennes. Muses.]
[Voir aussi Parnasse, Pinde et Chimœre, Erymanthe, Hymette, Ide, Oeté, Olympe, Pelion, Rhodopé ; voir encore Pegase et Hesiode.]