En la
froideur
de ton cristal
gelé,
En feu
vivant
dans ma moelle
tendre,
Tu vaincs dame de Des AutelsDenise,
et dame de
Du Bellay"Olive,
et Cassandre,
Je vaincs
Vendôme,
Anjou,
et Le
Puley.
C’est trop, ma
Nymphe,
hélas, c’est trop brûlé.
Ce mien, tien cœur,
ce mien cœur
est en cendre :
Et cet esprit
que j’avais
l’habitude de prodiguerje soulais
dépendre
À t’adorer, de moi s’est
écoulé.
Méline,
étreinte
en l’amoureux
lien,
Rend plus
mielleux
l’esprit
Catullien
Au vers
mignard
de son
heureux
Baïf.
Donc adoucis la
rigueur
qui me touche :
Car si je vois ta beauté
moins
farouche,
Je te peindrai d’un
pinceau
plus
naïf.
En la
froideur
de ton cristal
gelé,
En feu
vivant
dans ma moelle
tendre,
Tu vaincs
dame
de Des AutelsDenise,
et dame
de Du BellayOlive,
et Cassandre,
Je vaincs Vendôme,
Anjou,
et Le
Puley.
C’est
trop, ma
Nymphe,
hélas,
c’est
trop brûlé.
Ce mien, tien
cœur,
ce mien cœur
est en cendre :
Et cet esprit
que j’avais
l’habitude de prodiguerje soulais
dépendre
À t’adorer, de moi s’est
écoulé.
Méline,
étreinte
en l’amoureux
lien,
Rend plus
mielleux
l’esprit
Catullien
Au vers
mignard
de son
heureux
Baïf.
Donc adoucis la
rigueur
qui me touche :
Car si je vois ta beauté
moins
farouche,
Je te peindrai d’un
pinceau
plus naïf.
En ligne le 11/10/25.
Dernière révision le 11/10/25.