Sous ton
haut
front,
qui le
clair
ciel
ressemble,
Sont deux soleils
gracieux
et
luisants,
Et deux sourcils
leurs rayons
conduisant,
Aux mouvements desquels (las) mon
cœur
tremble.
Ton
blanc
visage,
où ton
beau
teint
s’assemble,
Ta bouche
faite en deux coraux
plaisants,
Ton bien-parler
sur tous les bien-disants,
Et ton
doux
ris
doucement mon cœur
emble.
Ta
beauté
veut, ta grâce
me commande
Que je te serve : Et mon
affection
En ton endroit à jamais sera telle :
Que
peur
de mort,
tourment
de passion,
Tristesse,
deuil,
ou peine,
tant soit grande,
N’éteindra point mon
amour
immortelle.
Sous ton
haut
front,
qui le
clair
ciel
ressemble,
Sont deux soleils
gracieux
et
luisants,
Et deux sourcils
leurs rayons
conduisant,
Aux mouvements desquels (las) mon
cœur
tremble.
Ton
blanc
visage,
où ton
beau
teint
s’assemble,
Ta bouche
faite en deux coraux
plaisants,
Ton bien-parler
sur tous les bien-disants,
Et ton
doux
ris
doucement mon cœur
emble.
Ta
beauté
veut, ta grâce
me commande
Que je te serve : Et mon
affection
En ton endroit à jamais sera telle :
Que
peur
de mort,
tourment
de passion,
Tristesse,
deuil,
ou peine,
tant soit grande,
N’éteindra point mon
amour
immortelle.
En ligne le
26/02/11,
Dernière révision le 25/01/22.