Quand le
désir
de ma
haute
pensée
Me fait voguer en mer
de ta beauté,
Espoir
du fruit
de ma
grand
loyauté
Tient voile
large
à mon désir
haussée,
Mais cette
voile
ainsi en l’air
dressée,
Pour me conduire au
port
de privauté,
Trouve en chemin
un flot
de cruauté,
Duquel elle est rudement repoussée.
Puis de mes
yeux
la
larmoyante
pluie,
Et les
grands
vents
de mon
soupirant
cœur,
Autour de moi émeuvent tel
orage,
Que si
l’ardeur
de ton amour
n’essuie
Cette abondance
(hélas) de
triste
humeur,
Je suis prochain d’un
périlleux
naufrage.
Quand le
désir
de ma
haute
pensée
Me fait voguer en mer
de ta beauté,
Espoir
du fruit
de ma
grand
loyauté
Tient voile
large
à mon désir
haussée,
Mais cette
voile
ainsi en l’air
dressée,
Pour me conduire au
port
de privauté,
Trouve en chemin
un flot
de cruauté,
Duquel elle est rudement repoussée.
Puis de mes
yeux
la
larmoyante
pluie,
Et les
grands
vents
de mon
soupirant
cœur,
Autour de moi émeuvent tel
orage,
Que si
l’ardeur
de ton amour
n’essuie
Cette abondance
(hélas) de
triste
humeur,
Je suis prochain d’un
périlleux
naufrage.
En ligne le
25/05/20.
Dernière révision le 07/07/22.