Qu’il faut être
curieux de
l’ornement
intérieur, et non de l’extérieur.
Ni le
teint
plus
vermeil
d’un pourpre
de Tyrie,
Ni d’un drap
d’or
exquis
la
luisante
beauté,
Ni le velours
bien
cher
de bien loin apporté,
Ni la robe
éclatante
en riche
broderie,
Ni la
couronne
encor de perles
enrichie,
Ni le
pompeux
orgueil
de toute Royauté,
Ne sont les vêtements de votre
Majesté,
Ni les
vrais
ornements
dont elle est ennoblie.
La
Pitié,
la douceur,
la débonnaireté,
La charité,
l’amour,
la libéralité,
Sont les accoûtrements dont elle est mieux
vêtue :
Car voilà les
atours
dont se doit reparer
Toute âme
qui aux Cieux
désire un jour
entrer,
Et en un si bon lieu veut être bienvenue
Qu’il faut être
curieux de
l’ornement
intérieur, et non de l’extérieur.
Ni
le teint
plus
vermeil
d’un
pourpre
de Tyrie,
Ni d’un
drap
d’or
exquis
la
luisante
beauté,
Ni le
velours
bien cher
de bien loin apporté,
Ni la
robe
éclatante
en riche
broderie,
Ni
la couronne
encor de perles
enrichie,
Ni le
pompeux
orgueil
de toute Royauté,
Ne sont les
vêtements de votre
Majesté,
Ni les
vrais
ornements
dont elle est ennoblie.
La
Pitié,
la douceur,
la débonnaireté,
La
charité,
l’amour,
la libéralité,
Sont les
accoûtrements dont elle est mieux vêtue :
Car
voilà les atours
dont se doit reparer
Toute
âme
qui aux Cieux
désire un jour
entrer,
Et en un si bon lieu veut
être bienvenue.
En ligne le
13/04/25.
Dernière révision le 13/04/25.