LE
printemps
n’à point tant de
fleurs,
L’Autonne
tant de raisins
meurs,
L’esté
tant de chaleurs
halees,
L’yuer
n’à point tant de
gelees,
Ni la mer
n’à tant de
poissons,
Ni la Secile
de moissons,
Ni l’Afrique
n’à tant
d’Arenes,
Ni le mont
d’Ide
de fonteines,
Ni la nuict
tant de
clairs
flambeaux,
Ni les forestz
tant de rameaux,
Que ie porte au cueur,
ma maitresse,
Pour vous de peine
& de tristesse.
LE
printemps
n’à point tant de
fleurs,
L’Autonne
tant de raisins
meurs,
L’esté
tant de chaleurs
halees,
L’yuer
n’à point tant de
gelees,
Ni la mer
n’à tant de
poissons,
Ni la Secile
de moissons,
Ni l’Afrique
n’à tant
d’Arenes,
Ni le mont
d’Ide
de fonteines,
Ni la nuict
tant de
clairs
flambeaux,
Ni les forestz
tant de rameaux,
Que ie porte au cueur,
ma maitresse,
Pour vous de peine
& de tristesse.
Version de 1557 en ligne le
01/04/05,
remplacée par celle de 1556 le 18/10/20.
Dernière révision le 17/03/23.