CE
gentil
feu,
ce trait,
cette filasse
Si doucement m’ard, me navre, et
m’étreint,
Qu’ars, et
navré,
lié,
mon cœur
ne craint
Brûlure, ou plaie,
ou douleur
qu’on lui fasse.
Ni le
brasier
qui me brûle
d’audace,
Ni le
dur
fer
dedans mon cœur
empreint,
Ni le
fort
nœud
qui
roide
me contraint,
Ne me sauraient distraire de sa
face.
Heureuse
flamme,
heureux
coup,
et lien,
Oh qu’à la fois vous m’apportez de
bien,
Quand par vous trois il faut que je trépasse.
Mais j’ai en gré
quoiqu’à
mort
suis astreint
Ce
gentil
feu,
ce trait,
cette filasse,
Qui doucement m’ard, me navre, et
m’étreint.
CE
gentil
feu,
ce trait,
cette filasse
Si doucement m’ard, me navre, et
m’étreint,
Qu’ars, et
navré,
lié,
mon cœur
ne craint
Brûlure, ou plaie,
ou douleur
qu’on lui fasse.
Ni le
brasier
qui me brûle
d’audace,
Ni le
dur
fer
dedans mon cœur
empreint,
Ni le
fort
nœud
qui
roide
me contraint,
Ne me sauraient distraire de sa
face.
Heureuse
flamme,
heureux
coup,
et lien,
Oh qu’à la fois vous m’apportez de
bien,
Quand par vous trois il faut que je trépasse.
Mais j’ai en gré
quoiqu’à
mort
suis astreint
Ce
gentil
feu,
ce trait,
cette filasse,
Qui doucement m’ard, me navre, et
m’étreint.
En ligne le
27/11/19.
Dernière révision le 23/06/23.