Grâces
qu’à peu le
ciel
large
destine,
Rare
vertu,
et façon
non humaine,
Sous cheveux
d’or
tête
chenue
et saine,
En
humble
dame
une beauté
divine,
Délibérée
et façon
pérégrine,
Chant
singulier
plus
doux
que de Sirène,
Marcher
céleste,
et l’âme
d’ardeur
pleine,
Qui fend les rocs,
et les
hauts
monts
incline :
Les
yeux
pouvant enclumes
amollir,
Et les abys de lumières
remplir
Et transmuer d’un
corps
en autre l’âme :
Propos
remplis de
spirituelle
flamme,
Et les soupirs
rompus suavement,
Tels enchanteurs
font de moi changement.
Grâces
qu’à peu le
ciel
large
destine,
Rare
vertu,
et façon
non humaine,
Sous
cheveux
d’or
tête
chenue
et saine,
En
humble
dame
une beauté
divine,
Délibérée
et façon
pérégrine,
Chant
singulier
plus
doux
que de Sirène,
Marcher
céleste,
et l’âme
d’ardeur
pleine,
Qui fend les
rocs,
et les
hauts
monts
incline :
Les
yeux
pouvant enclumes
amollir,
Et les abys de
lumières
remplir
Et transmuer d’un
corps
en autre l’âme :
Propos
remplis de
spirituelle
flamme,
Et les
soupirs
rompus suavement,
Tels
enchanteurs
font de moi changement.
En ligne le
01/07/10.
Dernière révision le 26/01/22.