Ô
doux
dédains,
doux
débats,
douces
paix,
Doux
mal
et peine,
et doux
pleur
répandu,
Et doux
parler,
doucement entendu,
Qui d’un
doux
vent
et doux
feu
me repais :
Ne plains plus
âme,
ains endure, et te tais,
Trempant le doux
d’amertume
offendu,
Avec l’honneur,
que celle t’a rendu,
À qui je dis, sans autre tu me plais.
Quelqu’un
(peut-être) un
jour
de nous dira :
Un vrai
amour
cestui-ci martyra,
L’autre, ô
fortune
envieuse
à mes yeux !
Que n’ai-je vu ce
beau
divin
regard ?
Que n’ai-je été, ô mes
ans
ennuyeux,
Plus tôt au monde ?
ou donc elle plus tard ?
Ô
doux
dédains,
doux
débats,
douces
paix,
Doux
mal
et peine,
et doux
pleur
répandu,
Et
doux
parler,
doucement entendu,
Qui d’un
doux
vent
et doux
feu
me repais :
Ne
plains plus
âme,
ains endure, et te tais,
Trempant le
doux
d’amertume
offendu,
Avec
l’honneur,
que celle t’a rendu,
À qui je dis,
sans autre tu me plais.
Quelqu’un
(peut-être) un
jour
de nous dira :
Un
vrai
amour
cestui-ci martyra,
L’autre,
ô fortune
envieuse
à mes yeux !
Que
n’ai-je vu ce
beau
divin
regard ?
Que n’ai-je
été, ô mes
ans
ennuyeux,
Plus tôt au
monde ?
ou donc elle plus tard ?
En ligne le
04/05/16.
Dernière révision le 01/07/21.