Plutôt la
mer
sera sèche
et tarie,
Plutôt les monts
seront
précipités,
Les astres
clairs
dépourvus de
clartés,
Et le printemps
de mainte herbe
fleurie,
Le
monde
rond
sans nulle seigneurie,
Le jour
obscur
privé de ses
beautés,
Les appétits
des hommes
contentés,
Plutôt aussi la
loyauté
périe,
Que de mon
cœur
on arrache le zèle,
Qui ne s’étend qu’à servir la
plus belle,
Soit en vertus,
excellence
et grandeur.
Et que mes
doigts
on garde en toute place
De fredonner le
divin
de sa grâce,
Embellissant cette
basse
rondeur.
Plutôt
la mer
sera sèche
et
tarie,
Plutôt les
monts
seront
précipités,
Les
astres
clairs
dépourvus de
clartés,
Et le
printemps
de mainte herbe
fleurie,
Le
monde
rond
sans nulle seigneurie,
Le
jour
obscur
privé de ses
beautés,
Les
appétits
des hommes
contentés,
Plutôt aussi la
loyauté
périe,
Que
de mon cœur
on arrache le zèle,
Qui ne
s’étend
qu’à
servir la plus belle,
Soit en
vertus,
excellence
et grandeur.
Et
que mes doigts
on garde en toute place
De fredonner le
divin
de sa grâce,
Embellissant cette
basse
rondeur.
En ligne le
08/10/18.
Dernière révision le 13/11/24.