Plutôt
la mer sera
sèche et tarie,
Plutôt
les monts seront
précipités,
Les
astres clairs
dépourvus de clartés,
Et
le printemps de mainte herbe fleurie,
Le
monde rond sans nulle seigneurie,
Le
jour obscur
privé de ses beautés,
Les
appétits
des hommes contentés,
Plutôt
aussi la loyauté
périe,
Que de mon
cœur
on arrache le zèle,
Qui ne s’étend qu’à servir la
plus belle,
Soit en vertus,
excellence
et grandeur.
Et que mes
doigts
on garde en toute place
De fredonner le
divin
de sa grâce,
Embellissant cette
basse
rondeur.
Plutôt
la mer sera
sèche et tarie,
Plutôt
les monts seront
précipités,
Les
astres clairs
dépourvus de clartés,
Et
le printemps de mainte herbe
fleurie,
Le
monde rond sans nulle seigneurie,
Le
jour obscur
privé de ses beautés,
Les
appétits
des hommes contentés,
Plutôt
aussi la loyauté
périe,
Que
de mon cœur
on arrache le zèle,
Qui ne
s’étend
qu’à
servir la plus belle,
Soit en
vertus,
excellence
et grandeur.
Et
que mes doigts
on garde en toute place
De fredonner le
divin
de sa grâce,
Embellissant cette
basse
rondeur.
En ligne le 05/07/21.
Dernière révision le 13/11/24.