Ni
mont,
ni roc,
ni lande, ni rivière,
Ni pré,
ni bois,
ni forêt,
ni Cité,
Ne m’ont ravi l’absente
Déité
Qui fait mon âme
esclave
et prisonnière.
Comme une
Idole
à mes sens familière,
Soit par le jour,
soit en l’obscurité,
Par les chemins
toujours, à mon côté,
Je l’entrevois d’une
aile
coutumière.
Avant, les
cerfs
en terre
vogueront,
Avant, les chars
sur les ondes
iront
Et les poissons
nageront
ès bocages,
Et les
sangliers
gîteront dans les
eaux,
Que sa beauté,
qui me fait tant de maux,
N’héberge en moi le
gain
de ses dommages.
Ni
mont,
ni roc,
ni lande, ni rivière,
Ni pré,
ni bois,
ni forêt,
ni Cité,
Ne m’ont ravi l’absente
Déité
Qui fait mon âme
esclave
et prisonnière.
Comme une
Idole
à mes sens familière,
Soit par le jour,
soit en l’obscurité,
Par les chemins
toujours, à mon côté,
Je l’entrevois d’une
aile
coutumière.
Avant, les
cerfs
en terre
vogueront,
Avant, les chars
sur les ondes
iront
Et les poissons
nageront
ès bocages,
Et les
sangliers
gîteront dans les
eaux,
Que sa beauté,
qui me fait tant de maux,
N’héberge en moi le
gain
de ses dommages.
En ligne le
10/04/10.
Dernière révision le 13/06/23.