[…]
Je compterais plus aisément
Les flots
de l’humide
élément
Et les arènes
des rivages,
Et la feuillure
des bocages,
Et du mont
d’Ide
les ruisseaux,
Et des Cieux
les menus
flambeaux,
Que de nombrer toutes les choses
Qui sont des Atomes écloses,
On aurait plutôt supputé
Le Monde
et son infinité.
[…]
[…]
Je compterais plus aisément
Les flots
de l’humide
élément
Et les arènes
des rivages,
Et la feuillure
des bocages,
Et du mont
d’Ide
les ruisseaux,
Et des Cieux
les menus
flambeaux,
Que de nombrer toutes les choses
Qui sont des Atomes écloses,
On aurait plutôt supputé
Le Monde
et son infinité.
[…]
En ligne le
11/03/15.
Dernière révision le 23/10/22.