««« déi­té »»»

« déi­té », « divi­ni­té » ou « Déi­tés » dans :
Tahu­reau
1554 [1870]
~ Si d’un Horace…
Baïf
1555
~ Ô céleste beau­té…
Belle­fo­rest
1561
~ Vif et mort, Corps, esprit…
Le Loyer
1576
~ J’étais tout près…
Ron­sard
1578
~ Je veux en lieu des cieux…
Hes­teau
1578
~ L’impu­dent Ixion…
Cathe­rine Des Roches
1583
~ La Beauté, la doc­trine…
Blan­chon
1583
~ Comme le Mari­nier…
Las­phrise
1597
~ Madame fit em­prunt…
Angot
1603
~ Qui pourrait voir au ciel…
Claude Gar­nier
1609
~ Ni mont, ni roc…

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Déité. Suprême, infime, pro­fonde, su­per­nelle, im­mense, haute, glo­rieuse, im­mor­telle, su­blime, in­com­pré­hen­sible, unique. vois dieu.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 77r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_160]
(texte modernisé).

[Voir aussi déesse.]


 

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Deité. Su­preme, in­fime, pro­fonde, su­per­nelle, im­mense, haute, glo­rieuse, im­mor­telle, su­blime, in­com­pre­hen­sible, vnique. voi diev.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 77r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_160]
(texte original).

[Voir aussi deesse.]