[…]
Puis donc que par ta
sainte
grâce,
La paix
de plus fort nous embrasse,
La paix
ô Dieu
nous entretiens,
La paix
à bien nous achemine,
Car elle prend son origine
De toi le père de tout bien,
Fais plutôt par la
bonté
tienne,
Que la croupe
Caucasienne
Soit et sans neige,
et sans glaçons,
Que plutôt la mer
soit sans voiles,
Plutôt le ciel
soit sans étoiles,
Qu’elle abandonne nos
maisons.
Que tout le
bétail
porte-laine,
Qui paît en cette
heureuse
plaine,
Plutôt s’accorde avec les
loups,
Plutôt sans Ours
soient nos montagnes,
Et sans fontaines
nos campagnes
Que la paix
s’éloigne de nous.
[…]
Puis donc que par ta
sainte
grâce,
La paix
de plus fort nous embrasse,
La paix
ô Dieu
nous entretiens,
La paix
à bien nous achemine,
Car elle prend son origine
De toi le père de tout bien,
Fais plutôt par la
bonté
tienne,
Que la croupe
Caucasienne
Soit et sans neige,
et sans glaçons,
Que plutôt la mer
soit sans voiles,
Plutôt le ciel
soit sans étoiles,
Qu’elle abandonne nos
maisons.
Que tout le
bétail
porte-laine,
Qui paît en cette
heureuse
plaine,
Plutôt s’accorde avec les
loups,
Plutôt sans Ours
soient nos montagnes,
Et sans fontaines
nos campagnes
Que la paix
s’éloigne de nous.
En ligne le
23/12/09.
Dernière révision le 12/09/21.