Quand la
fureur,
qui bat les
grandz
coupeaux,
Hors de mon coeur
l’Oliuɇ arachera,
Auec le chien
le loup
se couchera,
Fidele
gardɇ
aux
timides
troupeaux.
Le
ciel,
qui void auec tant de
flambeaux,
Le violent de son cours cessera,
Le feu
sans chault,
& sans clerté
sera,
Obscur le ront
des deux astres
plus beaux.
Tous animaulx changeront de
seiour
L’vn auec’ l’autrɇ, & au plus
cler du
iour
Ressemblera la nuit
humidɇ,
&
sombre,
Des
prez
seront semblables
les couleurs,
La mer
sans eau,
& les forestz
sans ombre,
Et sans odeur
les roses,
& les fleurs.
Quand la
fureur,
qui bat les
grandz
coupeaux,
Hors de mon coeur
l’Oliuɇ arachera,
Auec le chien
le loup
se couchera,
Fidele
gardɇ
aux
timides
troupeaux.
Le
ciel,
qui void auec tant de
flambeaux,
Le violent de son cours cessera,
Le feu
sans chault,
& sans clerté
sera,
Obscur le ront
des deux
astres
plus beaux.
Tous animaulx changeront de
seiour
L’vn auec’ l’autrɇ, & au plus
cler du
iour
Ressemblera la nuit
humidɇ,
&
sombre,
Des
prez
seront semblables
les couleurs,
La mer
sans eau,
& les forestz
sans ombre,
Et sans odeur
les roses,
& les fleurs.
En ligne le
23/02/08.
Dernière révision le 19/09/21.